sur quelle voiture avez vous appris a conduire ?

sur quelle voiture avez vous appris ou passé le permis de conduire ?

- pour moi c'était sur Fiat Uno Turbo ie (en fin de vie) puis les premières Clio 1.9d

d'autres on déjà donné leur réponse sur un autre post

-pour Rapiere : Renault 14 (la Poire) à l'auto école pour pouvoir conduire la R5 que m'avait donné mon cousin...

-4CVdd : Moi, en 72, sur une R5 TL bleue clair

-Ganesh : Super5 five D 1989 !

-Carman : toyota 1000,en 80

et vous??

Renault 5 L , avec les vitesses au TdB . Un copain a réussi à arracher le coulisseau

Ah oui, moi aussi elle avait les vitesses au tableau

Petite précision, j'ai passé le permis sur la 5, mais ça faisait déjà un moment que je conduisais la 4CV de mon frère .....
Pas bien ça, y'a prescription

Je l'ai passé à l'armée en 1968, à 19 ans, et sur un GMC d'avant la guerre!
Pour la petite histoire, nous étions quelques dizaines à le passer, et le gars devant moi avait été recalé, n'ayant pas réussi à passer les vitesses! Le copain qui m'accompagnait ce jour là était mécano, il le passait aussi, et m'avait dit:
"Sur ce foutu tas de boue, tu files un grand coup de latte sur le levier, et ça passe!"
J'avais déjà conduit "dans le civil" (oups... sans permis, mais... comme dirait 4cvdd, "y'a prescription!"    ), alors quand l'examinateur m'a vu passer la première d'un grand coup de latte et démarrer cet énorme machin grinçant de partout, il m'a dit au bout de 30 secondes:
"c'est bon, on va pas y passer la journée, au suivant!"
La semaine suivante nous devions partir en "manoeuvres", mais avant la nouvelle dotation de carburant, il fallait épuiser les réserves pour que la nouvelle cargaison ne soit pas inférieure...
Alors, à partir du lendemain de l'obtention de mon sésame, on nous a fait tourner des journées entières autour de la caserne avec tous les véhicules en état de rouler... Comme quoi la débilité n'avait déjà pas de limites!  
Mais le plus con de l'histoire, c'est qu'en rentrant dans la vie civile, j'avais 6 mois pour le convertir en permis normal... Mais amoureux comme j'étais à cette époque, j'avais complètement zappé... et j'ai du reprendre quelques leçons et le repasser, cette fois sur une Simca 1100, quand j'ai pu m'acheter ma première voiture!

Pour ma part en 72 sur une fiat 128. Le moniteur m'a demandé, lors de ma première heure, si j'avais déjà conduit...et bien non mon capitaine. Il avait été étonné par mon aisance à la conduite.Il a fallu, contrairement à aujourd'hui, seulement 13 heures de conduite comme beaucoup d'entre nous à cette période pour ceux qui l'ont connue.
Comme Jean-Marc, en 74 à Neustadt en Allemagne passage poids lourd à l'armée; essais sur 150m tout au plus, quelques questions sur la mécanique et j'obtenais mon sésame que j'ai validé contrairement à J-M à mon entrée dans le civil.
Bon j'ai bien changé.... voiture automatique.Et oui l'âge!

Hello

Pour ma part, j'avais 12 ans avec une 2cv dans les champs et un copain avec une 4cv, plus une estafette.
Puis puis quand je sortais le samedi la 404 d'un copain sur route et sans permis juste un soir   1967 1968 environ,
Debut 1969 passage du permis sur r16 tl, avec le sésame retour avec la R6 tl et maman, ma première voiture Renault dauphine embrayage ferlec acheter 50 francs, transformer en normal avec mon père et mise en 12 volts. puis retour de l'armé R15 tl neuve.

Salut !
Mon père m'avait inscrit quand j'ai eu 18 ans en janvier 68.
L'auto école était la même où mon frangin Alain était allé.
Il y avait 3 Simca 1000, une bleue, une blanche et une rouge  
J'ai eu droit à apprendre sur la rouge, une calamité ! Des freins ? Mon Aronde freinait mieux ! La direction ? Jamais vu un jeu pareil que sur de vieux tracteurs   L'embrayage ? Un souvenir !
Il y a un truc que j'ai vite retenu : ne pas braquer sur place. J'ai essayé et le moniteur qui ressemblait à Bobby Lapointe, m'a filé un ramponneau : Jamais ça !!! Faut que la voiture se déplace !!! J'ai retenu la leçon.
Un jour, Bobby Lapointe a été remplacé par une charmante dame (plus concentré sur ma passagère que sur la route) et sur la Simca 1000 blanche, qui n'avait aucun défaut.
Doublement cool  

Le jour du permis, 23 mars 1968, et meeeeerde, c'est la rouge !!!!!
Prudence, trop de prudence, il y avait une bagnole arrêtée devant un boulanger, j'attendais que ça se passe, l'inspecteur pète sec me crache : "mais allez y !  Passez !!"
Clignotant, je regarde dans le rétro, je décolle et l'inspecteur freine brutalement, une bagnole doublait la file, gloups ! Je me suis dit que c'était cuit.
Il m'a fait faire un créneau en côte, là où c'était inutile de mettre la marche arrière, mais instruit par Bobby Lapointe, j'ai mis la marche arrière et j'ai vu que M. Pète Sec, regardait ce que je faisais.
Ensuite un tour dans la campagne où je n'ai pas oublié les conseils de Bobby Lapointe : passer les 4 vitesses, rétrograder.
Retour à la Place des Fêtes et .... et ....... ils sort une feuille rose !!!  
Le permis a été inauguré le soir même quand mon père est revenu du travail, un tour au volant de la Simca 1300. Il pleuvait, j'avais mis les essuie-glaces et mon père m'a demandé pourquoi je zigzaguais    Simple, je j'avais jamais conduit avec la pluie pendant les leçons.

Je vais vous faire une révélation : pas de permis à l'armée, vu que mon expérience militaire a duré 1 jour 1/2.
J'avais demandé un sursis, il fallait envoyer un certificat de scolarité et celui que j'ai envoyé, c'était de la Sorbonne, à l'époque où les maoïstes avaient lancé le mot d'ordre : faites l'armée, apprenez à vous servir des chars, des canons, des bombardiers, quand nous ferons la révolution, nous aurons besoin de vous !
Et hop exempté ! DOM dégagé des obligations militaires et dès qu'il y a du boulot pas de soucis.
C'était une époque !

Heureusement y'a prescription , parce que des bagnoles j'en ai roulé avant l'âge légal , mes premières leçons de conduite, à 11 ans ,  avaient été avec la Dauphine du tonton : quand il allait faire les courses pour pépé / mémé , il m'emmenait et au retour  , j'avais le droit de rouler . Sauf qu'un jour , sur le retour , au dernier moment , à une patte d'oie il me dit de prendre la route , inhabituelle , vers la droite , pas sur la normale à gauche , j'ai pris entre les 2 platanes , la Dauph' sur le dos .
Quand mon frangin ( 5 ans de plus que moi ) a eu son permis et sa R 8 , une aprem' alors qu'il était aux moissons , le diable m'a tenté , aller faire un tour dans un petit chemin , je m'en souviens encore aujourd'hui des embardées , heureusement sans casse , ni vu ni connu , ben si vu , parce que de là où était le frangin avec les parents eux me voyaient , je ne vous détaille pas le cigare . A suivre ....

Le p'tit veinard de Dalton !
A 11 ans avec la caisse et la bénédiction du tonton !!
A 11 ans j'aurais bien aimé tenir le volant de la Traction, mais pas question. Je crois que j'aurais eu du mal à débrayer.
Même mon frère ainé n'a pas eu le privilège de tenir le volant sans permis.

EN 1974 sur une Renault 6

en 1980 sur toyota 1000 de 73

Heu... pour pratiquer les manettes, j'ai commencé sur des tracteurs agricoles.
Mais la première possédée (11 ans) ce fut une Alfetta 1800, qui demandait plus d'essence que ne pouvais lui en acheter... mais dont les carbus savaient sucer divinement. Et tout noyer aussi, quand on ne sait pas bien s'occuper des tirettes.

Les examens de permis sur 205D et XJ600...

Moi en 1986 sur Supercinq 1.1 litre essence 4 portes modèle base rouge ....Après avoir écumé sur les genoux du paternel, oncles et grand-père - directeur d Ecole Primaire de Garçons.... mais " y'a prescription !!..."et là je m y connais... dans le désordre 4L 2CV 204 504 Alfetta ID et ..rêve de gosse que j espère concrétiser .. 23 Pallas IE Boite Hydro !!!
Pour le permis moto ça s est fait à l Armée à Toulon,plus pratique pour circuler, " civilisé" à ma sortie des Drapeaux 4 ans après
Je vous laisse, je dois changer le démarreur de ma 11 BL , à moins que je puisse le rembobiner .....Oups ...REBOBINER
Amitiés et Meilleurs Voeux à tous
DocLau

Première expérience de conduite auto inoubliable : une Austin Healey Sprite avec conduite à droite. C'était dans le sud de l’Angleterre du côté de New Milton. En tracteur, David Brown 1200 Selectamatic.
Pour le permis, beaucoup moins original, une Renault 5 TL.
En souvenir de la Sprite, je ne collectionne que des anglaises. Actuellement Triumph Vitesse et Austin A30
Philippe67

Sélectamatic, c'est le relevage, n'est-ce pas, pas la transmission ?

Moi petit, dans ces années et cette tranche de puissance, c'était "Renault 94" avec une délicieuse boîte synchronisée. Délicieuse comparée à l'Universal 650 et son raide levier d'un mètre pour bouger des crabots, tout en devant descendre du siège pour parvenir à débrayer entièrement ! A l'inverse, l'U650 avait une direction assistée que le Renault n'avait pas, mais alors pas du tout, et son immense volant ne compensait pas grand' chose. Il y avait aussi un JD 505 ex-Lanz avec un moteur Standard anglais incapable de préchauffer et qui, été comme hiver, ne savait démarrer que lancé dans une pente. Avec les petites jambes, fallait pas se rater... ni prendre trop de vitesse, sous peine de finir dans le ruisseau !

Oui, Selectamatic, c’était l’appellation du système de relevage. Sinon rien d’automatique sur ce tracteur. Surtout pas la direction. Un jour, j'ai pris un virage en épingle à cheveux et, incapable de ramener la direction en ligne droite, j’ai fait un tonneau vers l’intérieur du virage. Heureusement qu'il y avait une cabine. Sinon, je ne serais peut être plus là !

Dans le monde des tracteurs, c'était à 14 ans sur un Renault D20 (je crois) qui appartenait aux voisins.
Quand on entendait le grand père dire "Michel, avant d'aller jouer, vas rentrer du foin" c'était une parole magique, car nous n'allions pas le laisser tout seul faire le boulot. Une fois sortis du village, Michel nous filait le volant.
L'embrayage ! Il fallait se mettre debout pour peser de tout son poids !
A part ça, le panard d'être aux commandes à fond à 20 à l'heure.

Ensuite, une fois arrivés dans le pré, la remorque était vite remplie avec tous ces bras et retour au village, en faisant des détours pour en profiter un max !

Bonjour et bonne année à tous. J'ai commencé à 14 ans avec la 404 du paternel. A 18 ans, en 76, j'ai acheté un Simca 1200s que j'ai gardé 8 jours (RIP ) puis une P60 Elysée de 1960 achetée 400f 1ere main et 70000 kms le temps de payer le crédit, puis une Rallye 1.

205 Peugeot fin 1984.
1er cours de conduite. A peine installée au volant, les yeux brillants, je me renseigne sur la possibilité de piloter sur circuit... le moniteur me répond sèchement qu'il faut déjà que je concentre sur ma 1ère leçon et que j'ai mon permis. Le circuit est une autre étape.
Leçons de conduite en décembre, dans la neige et le verglas. Créneaux arrière dans des rues pentues et bien verglacées (je crois qu'il n'avait pas aimé ma question sur le circuit !...).
J'ai dû attendre d'avoir mes 18 ans pour passer le permis : jour J l'inspecteur me demande de doubler sur une ligne blanche en pleine forêt de St Germain en Laye = NON.
Je roulais derrière une sorte d'ORNI à 30 km/h... Le moniteur sur la banquette arrière rouspète et me dit que d'autres attendent pour le permis, qu'il faut que j'écoute l'inspecteur et que je DOUBLE. Je répète ce que j'ai appris au code "une ligne blanche est comme un mur, on ne doit pas la franchir" !
Je n'en ai rien fait (on nous avait suffisamment briefer pour ne pas tomber dans le panneau c'est le cas de le dire).
Résultat en fin de balade, j'étais apte au papier rose.
Mais, avant le permis et mes 18 ans, des copains très sympas n’ont pas hésité à me confier le volant : un J7 sur le chemin de halage en bord de Seine et de nuit, une R5 avec laquelle je faisais des 8 sur le parking de la place de la mairie, une Opel (j’étais malade et étais sortie en chaussons alors que ma mère courait derrière moi !), une Ford Fiesta (aïe, j'avais un peu entamé le parechoc de la voiture garée devant...).
Sans compter les fausses-voitures, assise sur une chaise de la salle à manger chez ma grand-mère où j'imitais toutes les accélérations et les changements de vitesse (je n'aurais pas aimé être à la place du moteur !)
Juste après le permis, je suis partie toute seule avec la R11 parentale aux Pays-Bas. C'était l'époque où les stations-services avaient encore du personnel pour faire le plein d'essence (je n'osais pas me servir de la pompe).
J'ai eu droit à un véritable bizutage pour ma 1ère sorite avec la R11 : en cherchant comment allumer les phares, des cahots m'ont indiqué que j'étais rendue dans un champ de salades, ensuite mes amis pompiers m'ont fait faire un circuit en passant par un sens interdit en plein centre-ville pour finir la soirée à Versailles bien garée sur un créneau.
J'ai développé toutes ces anecdotes et bien d'autres dans un petit recueil dévolu à l'automobile et moi.

La 2Cv de ma mère avec mon père; on avait inventé la conduite accompagnée dans les années 78 (à la sortie du service militaire).. Comme mon père trouvait que je secouai trop la 2CV, il m'accompagnait dans l'Idée (plus calme et moins sauteuse).
Ensuite à l'auto école j'ai officiellement appris dans "la poire" Renault (officiellement R14)...

Les premières séances de manoeuvres sans les adultes (à plusieurs, entre 6 et 10 ans) ont surtout été des séances de pelletage suivies d'un lavage, punition pour s'être embourbés un mètre à côté du chemin. Fiat 500 et R4TL.

j'oubliais les 1ères séances de manoeuvres sur une vraie voiture : la Peugeot 204 blanche de mon parrain...
Manque de chance, les traces de pneus dans la neige ont confirmé qu'en plus de jouer à tourner le volant et à passer les vitesses, cette fois-ci une nouvelle étape avait été franchie : desserrer le frein à main !

RétroLoc' a écrit:Les premières séances de manoeuvres sans les adultes (à plusieurs, entre 6 et 10 ans) ont surtout été des séances de pelletage suivies d'un lavage, punition pour s'être embourbés un mètre à côté du chemin. Fiat 500 et R4TL.

très classique , sur les best-sellers des 80's : Super 5 et R11 , code du 1er coup ( j'avais bachotté comme un malade ) , conduite pareil avec les félicitations de l'examinateur !
Ensuite , première caisse R5 commerciale ( que deux places mais beaucoup moins chère ) , ensuite Super 5 commerciale aussi ( mais c'est une manie !!! ) et la première "vraie" bagnole : une MX-5 que je suis allé chercher au Mans , alors que j'habitais Marseille à l'époque ( trouvé par le biais des annonces sur minitel , je vous dis pas la facture de téléphone...). Elle avait été vendue en Suède ( j'avais retrouvé les documents de livraison de l'importateur sous les moquettes ) , courageux l 'acheteur !!!

Conduite accompagnée sur Ford Mondeo puis Mercedes Classe C et enfin Safrane (mon père changeait souvent) , puis j'ai eu une Super 5 pendant 6 mois après mon permis et ensuite j'ai eu une Seat Ibiza pendant plusieurs années.

Peugeot 505 GLD (2.5)
Pas de direction assistée.
Je suis devenu un as du créneau grâce à cette caisse :-)