Nouvel ours et pérennité ?

Bonjour à toutes et à tous,

Nous savions que le boss JJ se dirigeait vers une retraite bien méritée mais à la lecture du dernier ours, c'est une sorte de tremblement de terre qui se passe chez Gazoline. Pour beaucoup c'est passé inaperçu, un peu comme une lettre à la Poste, subrepticement, en catimini.

Pourtant la réalité est bien là. Gazoline n'est plus indépendant, il rejoint la palanquée de revues d'un groupe de presse assez spécialisé dans les "niches", il en est semble-t-il le 23 ème élément.
Capitalistiquement parlant JJ aurait repris tout ou partie de ses "billes", c'est son affaire, mais qu'adviendra-t-il de Gazoline dans les mois et les années à venir ?

Il est de notoriété publique que les changements notoires au capital des journaux se font dans la douceur (quoique !) mais qu'au bout de quelques temps la maquette change, la ligne rédactionnelle change, le prix du numéro change avec souvent une pagination en diminution, etc.

Si on est un tantinet curieux on peut s'apercevoir que déjà des changements se sont opérés. Des noms disparaissent, d'autres apparaissent, de nouvelles fonctions et de nouvelles attributions viennent engraisser l'organigramme du Gazoline que nous connaissions.

Alors devons-nous craindre ces bouleversements pour l'avenir de ce mensuel qui fait un peu partie de notre famille depuis tant d'années (1995) ?

Peut-être que quelques personnes bien inspirées du sérail pourraient nous informer ici sur le devenir de Gazoline ?

Merci d'avance à elles.

Déjà dit pour le n° 238... ( http://gazoline.net/forum/general.php?lecture=1100206220&debut=0&recherche=bauju74&rt=ps&page=1#1100206220 )

Ce qui inquiète c'est le signataire de "l'écho", un roi de la grimpe...
Par contre un comité de rédaction "nouveau", avec JJD et JJL, ça peut rassurer...?  

Bonjour bauju d'accord sur le déjà dit dans le 238 mais nulle part est abordé le fond.

En effet, il semble que JJ soit encore là mais uniquement pour une transition en "douceur". Après son départ ce n'est plus lui qui assurera la ligne rédactionnelle de Gazoline à moins qu'il fasse comme nos politiques qui partent et qui reviennent. Nous verrons bien courant 2017.
Quand on observe un peu la presse et les groupes de presse (Rossel, etc.) qui collectionnent les titres pour les anesthésier en mutualisant à l'outrance les pages, les maquettes et même le fond, il convient d'être extrêmement vigilant sur le devenir des journaux et revues. Gazoline ce n'est pas rien c'est une sorte de phare pour bon nombre d'amateurs d'anciennes qui ont apprécié la philosophie et les engagements de toute l'équipe ancienne du mensuel. Pour ma part je n'ai aucune inquiétude sur la pérennité du titre seul parce qu'en matière de presse un titre a une valeur indéniable après il est souhaitable de voir l'évolution de ce qui se passe derrière le seul titre. Pour le reste, méfiance, surtout pour les encéphalogrammes plats quant aux engagements pour certaines causes.

Wait and see !

Tu veux parler du Tour EN France 2017,
ou des centre-ville interdits?

Ben quand ça ne plait plus, on achète plus et pis c'est tout, c'est comme ça que ça marche.

Et ça tombe bien, cette année je ne me suis pas réabonné, je préfère l'acheter chez M.le marchand.
Du coup, chez le marchand y'en a d'autres alors on a le choix

+1 avec Jacques, on verra bien ce qui se passera ... ou pas.

Pas de masturbation intellectuelle inutile, qui va faire quoi, qui va déboulonner qui, quel virage vers quoi, ect...

Est ce notre affaire ? Non si on n'aime plus on n'achète plus.

Ce que fera JJ ou pas, est ce notre affaire ? Non ce sont ses oignons et ce n'est pas à nous de les biner.

Jean Tantol a écrit:+1 avec Jacques, on verra bien ce qui se passera ... ou pas.

Pas de masturbation intellectuelle inutile, qui va faire quoi, qui va déboulonner qui, quel virage vers quoi, ect...

Est ce notre affaire ? Non si on n'aime plus on n'achète plus.

Ce que fera JJ ou pas, est ce notre affaire ? Non ce sont ses oignons et ce n'est pas à nous de les biner.  

Entièrement d'accord .

Bonjour,

Il faudra espérer que Gazo ne suive ( la triste et funeste ) issue de Rétromania à son temps, racheté par les éditions Steven ( Flat 6 ), qui aurait promis à l'époque, la contuinité de l'existence et l'amélioration de la revue en vue de sa pérennité.
Hélas, trois fois hélas ...
Tout comme pour des marques automobiles, le sacrifice sur l'autel de la rentabilité a fait son oeuvre de basses besognes.

Il est bien tentant en effet, quand plusieurs titres sont dans le même panier, de faire de la récup de l'un vers l'autre pour "optimiser" les coûts.
Du coup, quand on lit plusieurs magazines, on a l'impression d'acheter 2 fois la même chose.
Pas de problème me direz-vous si le lecteur ne lit qu'un seul titre.
C'est vrai, tant que les n° spéciaux ne reprennent pas le contenu du mensuel ... ou l'inverse

comme qui dirait"le roi est mort vive le roi"
Félicitation à JJ qui a bien créé et fait grandir gazo durant toutes ces années et bonne chance aux nouveaux qui vont le faire grandir encore pendant de nombreuses années

Bonsoir.

J'avais loupé le coche et je l'ai acheté aujourd'hui.
J'ai regardé l'ours et j'ai comparé avec celui du mois dernier, gasp ! je n'avais rien vu !
Dans ce numéro, page 10, la chronique que Jean Louis Loubet est vraiment riquiqui, alors qu'il nous a toujours bien instruit sur les coulisses de l'automobile.
Dame, on dirait qu'il faut laisser de la place à la promo des bouquins !
Ça existait, mais pas aussi envahissant tout de même !
Bon, pour le reste, on retrouve ses petits, l'immanquable "roman photo à Papa" comme disait ma fille Géraldine, traduction : les restaus en photo
A moins qu'il ne se soit rien passé ces derniers temps, je m'attendais a voir une ou deux pages sur les refabrications et les bonnes adresses, rien vu ! Normal ?

Wolfy57 a pensé à Retromania et moi je pense à Automobilia de Roger Bellu, magazine cher, mais quelle mine de bonnes choses !
Je conserve les exemplaires avec jalousie et je me délecte en les relisant.

Je souhaite que Gazo continue encore longtemps avec son contenu que nous connaissons.