Blagounettes ...

Le Père-Noël en a eu marre des grèves, et jaloux qu'on lui fasse de l'ombre, cette année il nous a délégué ses assistantes, espérant qu'elles enverraient au tapis tous ces Gilets jaunes et autres Bonnets rouges!

Un brave type se retrouve aux Assises, accusé d'un double meurtre avec préméditation... Il est accusé d'avoir fait mourir de rire deux clients dans un bistrot, en leur racontant une méga blague...
Le Juge, qui souhaite se faire une idée précise sur les évènements, demande à l'accusé, debout dans le prétoire, entouré de deux gendarmes, de raconter comment ça s'est passé et de réitérer ses propos dans le détail... Le gars, désespéré, lui répond :
- Mais M'sieur l' Président, ça, j'peux pas faire ça, vous comprenez, j'ai déjà 2 morts sur la conscience, j'voudrais pas en rajouter un de plus !
- Accusé, je vous somme de répéter mot à mot ce que vous aviez raconté ce jour là, afin que la Justice puisse en délibérer ! Nous avons assez perdu de temps, alors dépéchons-nous, je vous écoute !!!
Le gars, effondré, se remet à raconter sa blague, et à peine arrivé à la fin, voilà le Juge qui se tord de rire, puis qui s'effondre et meurt sur le coup...
Le prévenu, finalement, a été jugé et lourdement condamné quelques semaines plus tard, pour... CINQ meurtres !!!
Eh oui, d'abord ses deux copains, plus le Juge le premier jour du procès, suivi des deux gendarmes qui encadraient le gars, et qui sont morts 24h plus tard... Ils n'avaient compris la blague que le lendemain !!!

Très heureux réveillon à vous tous,
Amicalement,
Jean-Marc        
   

Mort de rire!!!

Il y avait la version avec Mitterrand cherchant un sépulture digne du grand homme qu'il pensait être.
On lui propose le tombeau du Christ pour 5 000 000 de francs : << Comment, 5 000 000 ! Pour trois jours ! >>

Une jeune mère divorcée vit depuis quelques années avec un compagnon, et on approche de Noël...
Sa gamine de 10 ans affirme qu'elle croit encore au Père Noël, de peur de ne pas avoir de cadeaux... Alors elle écrit sa lettre :
- Mon cher Père Noël, je t'ai laissé comme chaque année sous le sapin des galettes au lait, et des carottes pour tes rennes. Tu trouveras à côté ma liste de cadeaux... Je t'aime, Laura.
Le beau-père « Noël », un peu excédé, lui répond :
- Chère Laura... J'en ai marre que tu me fasses le même coup chaque année, alors je vais te dire...
Tes galettes au lait me donnent la diarrhée, et les carottes font que mes rennes me pètent à la gueule quand je suis sur mon traîneau... Alors si tu tiens vraiment à être lèche-cul, offre-moi plutôt une bonne bouteille de Chivas, et va dire à ta mère qu'elle mette un string, pour que ça m'excite et que j'aie envie de revenir !
Signé : Le Père Noël.

une blonde qui rentre chez elle entend des bruits bizarres venant de la chambre à coucher située à l'étage. Elle s'y précipite et trouve son mari, nu, allongé sur le lit, complètement en sueur et tout essoufflé.
- "Mais que se passe-t-il ?" dit-elle.
- "Je suis en pleine crise cardiaque" répond le mari. Appelle les secours !"

La blonde se précipite en bas pour appeler le S.A.M.U. mais au moment de composer le numéro, son fils de 4 ans arrive et lui dit :
- "Maman, Maman, Tante Martine est cachée dans ton armoire, elle est toute nue et ne veut pas qu'on sache qu'elle est là."

La blonde raccroche alors brutalement et remonte en vitesse dans la chambre, ouvre violemment la porte de l'armoire et, bien sûr, y trouve sa sœur, complètement nue et recroquevillée dans la penderie.
- "Salope ! dit-elle. Mon mari est en train de faire une crise cardiaque et toi, tu joues à cache-cache avec ton neveu. T'as pas honte ?"

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Nous le savons tous, on risque de plus en plus gros si on se fait contrôler positivement en rentrant chez soi, au volant de son auto, après une soirée un peu arrosée, chez des amis ou au restaurant.
- Eh bien, samedi soir, j'ai passé une très agréable soirée avec des ami(e)s et comme d'hab' : apéritif(s), whisky (double ou triple, je ne me souviens plus), du blanc avec les fruits de mer, du rouge avec le gibier, une petite poire pour digérer et un petit pousse-café pour terminer en beauté.
- Au moment de prendre congé de mes hôtes, malgré le fait que je me sentais parfaitement bien, j'ai eu l'intelligence de penser que j'avais peut-être dépassé la limite permise.
- Alors, pour la première fois dans de telles circonstances, j'ai pris un bus pour rentrer chez moi.
- Heureusement, car sur la route pour rentrer à la maison, il y avait les policiers qui filtraient les véhicules et faisaient souffler les conducteurs dans le ballon.
- Mais, voyant un bus, ils ont fait signe de passer et je suis arrivé chez moi sans encombre...
- C'était surprenant, car je n'avais jamais conduit de bus auparavant...


Papy explique à son petit-fils : Quand j’ai des problèmes de digestion, je bois une bière.

Quand je n’ai pas d’appétit, je bois un pastisQuand j’ai une baisse de tension, je bois du blanc.

Quand j’ai un peu trop de tension, je bois du rouge.

Quand je fais de la tachycardie, je bois un grand verre de whisky.

Quand j’ai un coup de froid, je bois du grog.

Quand j’ai une indigestion, je bois un verre de cognac.

Papy, et quand c’est que tu bois de l’eau ?

Tiens, c’est bien d’en parler, c’est une maladie que je n’ai encore jamais eue !

C'est un type qui est dans une boite de nuit, mais qui a soudain envie de satisfaire quelques besoins intestinaux. Il se dirige donc vers les toilettes, ouvre la porte des chiottes, referme la porte à clef, baisse son pantalon et s'assoit sur le trône.
Laissant traîner son regard, il voit affichée en grand sur la porte en face de lui une énorme photo de femme nue, avec plein de petites étiquettes collées partout, mais avec une extraordinaire précision anatomique: pieds, genoux, seins, etc..., et une tout près du sexe. Mais là, il ne voit pas ce qui est écrit sur l'étiquette tellement c'est petit.
Il se penche en avant afin de lire, mais ne voit toujours rien.
Il s'approche encore et lit : "Arrête, si tu continue, tu vas chier à côté du trou..."

Ah oui, ça me rappelle un petit panneau que j’avais vu en Allemagne.
Authentique je vous jure, je l’avais même pris en photo.
Sur ce petit panneau, placé au dessus de l’urinoir, il était écrit : «approche toi davantage, elle est plus petite que tu ne le crois »

Bon! Puisqu'on parle de politique... j' m'en vas vous en raconter une autre... vraie, et plutôt ancienne, mais qui me fait toujours marrer... J'espère que ça vous fera rigoler aussi!

Et puis... Pardon les copains, mais elle est plutôt longue! (... Mais non, pas la mienne... L'histoire! ... quoique! )

Nous sommes le 16 février 1899. Le président Félix Faure succombe à une fellation au palais de l'Élysée.
Sa jolie et jeune maîtresse, Marguerite Steinheil a mis trop de cœur à l'ouvrage, et son amant présidentiel n'a pas résisté à une sublime gâterie.

Président de la République depuis quatre ans, Félix Faure avait pris une maîtresse, comme tout bon Président Français.
Marguerite Steinheil, 26 ans, change d'amant comme de chapeau. Son mari, un peintre célèbre qui poursuit ses propres amours, ne trouve rien à y redire. Au contraire même, puisque la nouvelle "relation" de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. Comme ça, tout le monde y trouve son compte.

Félix Faure, qui n'aime pas trop rouler à scooter, Hollande ne l'ayant pas encore mis à la mode, a pris l'habitude de faire venir Mme au palais de l'Élysée à chaque fois qu'il a besoin d'une séance de relaxation.
C'est Bill Clinton qui lui a filé le tuyau: rien de plus déstressant en effet qu'une petite turlutte de stagiaire ou de comédienne...
Bref, en se levant le 16 février 1899, Félix fait porter un mot à sa maîtresse pour lui dire qu'il la recevra avec plaisir à 17 heures, après ses dernières obligations. La journée passe à toute vitesse.

Le président s'apprête à accueillir sa visiteuse dans le salon bleu.
Mais avant de la faire introduire, il prend une petite précaution, pour ne pas se retrouver le drapeau en berne au moment fatal. C'est qu'à 58 ans, soit 29 de plus que sa maîtresse, il n'est plus un perdreau de l'année. Faute de Viagra, qu'on avait pas encore inventé, il avale un autre excitant, un peu plus dangereux...

L'heure approche, il est prêt à la recevoir. L'huissier fait entrer la ravissante Mme Steinheil. Le Président n'a pas de temps à perdre, alors elle ouvre son corsage pour lui offrir une magnifique poitrine, à rendre jalouse Lolo Ferrari.
Formée dans son extrême jeunesse par les membres de l'équipe de France de football, Marguerite va droit au but, et reste silencieuse, car son papa lui a appris à ne pas parler la bouche pleine...

Soudain, elle sent la main de son amant se crisper sur sa tête. Elle s'apprête à interrompre sa prestation quand il se met à crier :
- J'étouffe ! J'étouffe ! Au secours !
Affolée, elle le libère, se relève, le voit s'effondrer, panique.
Elle sonne les domestiques avant de s'enfuir par un escalier dérobé sans même prendre le temps de se rhabiller entièrement.

Parvenue dans la rue, Marguerite hèle un fiacre, le torse encore nu sous sa jaquette. Envoyé par Closer, le paparazzi de service n'a même pas le temps d'armer son appareil photo...
Pendant ce temps, les employés de l'Élysée découvrent le Président allongé, en pleine crise sur le divan. Le médecin qui accourt est impuissant à le sauver.
Quelques heures plus tard, il meurt d'une congestion cérébrale, comme on dit à l'époque.
Lorsque le prêtre venu lui administrer les derniers sacrements se présente, il demande à un garde du palais :
- Le président a-t-il encore sa connaissance ?
Et là, atterré, il entend cette réponse inattendue:
- Non mon Père, elle vient de s'enfuir par l'escalier de service !

La nouvelle de la mort de Félix Faure se répand rapidement. Le Journal du peuple écrit qu'il est mort d'avoir trop "sacrifié à Vénus". Tout Paris comprend l'allusion.
Les journalistes, apprenant que le président est décédé durant une fellation prodiguée par sa maitresse surnomment celle-ci "la Pompe funèbre".
Le surnom fait fureur. Cette réputation attire même à la belle de nouveaux amants, parmi lesquels Aristide Briand, et même le Roi du Cambodge.

La fin de Marguerite est pourtant beaucoup moins glorieuse que son entrée dans le monde.
Le 30 mai 1908, elle est retrouvée ligotée et bâillonnée dans son lit.
Son époux a été étranglé, et sa mère est morte d'une crise cardiaque. Soupçonnée d'être l'instigatrice du crime de son mari, elle est cependant acquittée.
Elle épousera finalement un baron anglais, et s'éteindra à 85 ans, en Angleterre, et ça, ça ne s'invente pas... L'histoire s'est terminée pour elle... dans le Sussex !

Pour clôturer cette « petite histoire », Clémenceau a eu le dernier « bon mot » , en disant :
- Il voulait être César, il ne fut que Pompée…!

Bien connu, bien réactualisé ! Toujours drôle et j'adore le coup de la connaissance sortie par l'escalier de service, même si j'ai une tendresse de latiniste pour la vacherie de Clémenceau.

Une dame et un bébé attendent patiemment le docteur pour le premier examen du bébé…
Le docteur arrive, examine le bébé, vérifie son poids et d’un air un peu préoccupé, demande à la dame s’il était nourri au sein ou au biberon.
– Au sein… répond-elle.
– Hé bien, déshabillez-vous jusqu’à la taille ! lui dit-il.
– Elle s’empresse de le faire. Puis, il lui pince les mamelons, les presse, les palpe et lui frotte les seins dans tous les sens dans le cadre d’un examen très minutieux.
En lui demandant de se rhabiller, il lui dit :
– Pas surprenant que le bébé aie un poids si faible. Vous n’avez pas de lait !
– Je sais dit-elle. Je suis la grand-mère mais je suis quand même contente d’être venue !