Restauration d'une SIMCA Aronde Grand Large de 1955 surnommée L'Arlésienne ...

Et maintenant, il ponce, il ponce, il ponce ... !!!

Et là plus rien ... Mais moi pendant ce temps là c'est à dire vers fin 2010 Attention faut suivre

Le moteur est presque fini. La culasse est juste posée. Mais je viens de recevoir le cache culbuteur et la plaque latérale repeinte. Il commence à avoir de la gueule le pépère.


En août 2010, on avait laissé le train arrière dans cette position.

Nous sommes en Août 2011. J’ai reçu des pièces à monter. Donc je le ramène dans le garage.


Je re-sors la tripaille.

Avant de le mettre sur voiture, il y a un peu de boulot. Je sors les plaques d’arrêt roulement, le boitier d’arrêt d’huile et les chicanes d’huile. Je les refaits avec des petites brosses métallique montées sur une perceuse.


Voici le résultat.

Une bonne couche de Rustol et on laisse sécher (je vais finir par prendre des actions chez eux …)


Changement à goujon cassé et mise en peinture des moyeux arrières.

Je dessine les joints pour en remettre entre chaque plaque.


Découpage comme les enfants à l’école.

Préparation de l’ensemble.


Puis montage à la patte.

Montage du flasque, des plaques et du moyeu


Montage du cylindre de roue.

Idem de l’autre côté.

On en a pour notre argent
Merci pour toutes ces photos.
Gérard.

Merci pour ce formidable reportage. Je n'en dors même plus

De rien, et c'est loin d'être fini Dallas à coté c'est de la rigolade

Alors comme cela vous plait, c'est reparti

Dérouillage et « Rustolage » de la tripaille.

Préparation des pièces de suspension qui sont de retour de peinture.


Puis montage.

Le voilà presque prêt à être remonté

Les garnitures neuves mais rouillées.


Après brossage, peinture époxy.

Il me manque des pièces pour finir tout le train … Ca commence !!! Donc remisage jusqu’à la prochaine fois.


En protégeant bien les entrées possibles (pour info, se sont des bouchons de tube pour chaises de cuisine   , mais pour chaise de salon, cela doit marcher aussi   ).

On s’attaque à la boite. Elle est tellement crade, qu’on croyerai qu’il y a une couche de peinture noir époxy dessus !


Et dedans …

Ça commence à avoir de l’allure.


Et la voilà finie. Sympa comme œuvre d’art …

Je passe au train avant. Je le sors de sa tanière.


On s’occupe de la tripaille. Toujours pareil, dérouille et « Rustolage ».

A ce moment il faut que j’arrête tout pour m’occuper de la 9 de Pierrot. Donc on remise tout pour un prochaine épisode intitulé : « Les trains roulants, le retour … ».