Restauration d'une SIMCA Aronde Grand Large de 1955 surnommée L'Arlésienne ...

Centrage avec un chasse goupille. C’est pas trop dure à trouver, c’est l’axe de la fusée.


On aide un peu l’emmanchement de la goupille

Je présente devant le trou.


Emmanché. Pas trop loin, sinon il faut le refaire dans l’autre sens …

Les pièces trouvées sur Le Canard.


Pour les joints il s’est avéré que ce fût une fausse bonne idée ! Le caoutchouc d’époque (C’est ce que je dis souvent et là cela s’est avéré exact … Dans le style, faites ce que je dis pas ce que je fais !!! Bref …) c’est fendu (trop vieux, trop sec !). Il m’aura permis d’avoir les côtes pour en acheter des neufs. En plus je trouvais le joint torique inférieur trop serré. J’ai donc pris une taille en plus. Ceux qui veulent les côtes, n’hésitez pas à demander

Mise en place de la noix supérieure.


Mise en place du joint …

… du ressort …


… et de la tripaille.

Et là, le bordel. Les vis démontées sont dans un sale état !


On chercher dans la boite à clous d’autre vis. Je fais au mieux avec ce que j’ai … Je refais les filetages.

Certaines seront sauvables.


Et je prends les meilleurs.

Voilà, c’est monté.


Je comprends mieux pourquoi sur les P60 ils ont changé le principe car à remonter c’est une chianlie pas possible … Bref quand c’est fait, tu es content que cela soit fini ! Mais il reste l’autre côté !

Préparation de la partie inférieure. Mise en place du joint et de la rondelle.

C’est monté.

Montage à blanc de l’écrou de l’empilage.

Et voilà mes pépère sont de retour :mrgreen: Les anciens à gauche et les nouveaux à droite.


Emmanchement de la cage extérieure.

Graissage.


Montage du joint arrière.


Et t’es content de refaire le mariage de l’ensemble et … PUTAIN ça rentre pas !!! Là tu fumes tu te dis la vache mais elles sont où les autres pièces … Tu lances des appels au secours à droite à gauche, tu recherches les différences des pièces … Bon personne sais trop. C’est sur quand on fait un train avant on ne fait pas le train arrière en même temps. L'art d’acheter une voiture démontée, stocké depuis aussi longtemps dans 2 endroits différents. Là je pose tout et je remonte …

Donc pour ceux que cela intéresse, le joint (ou arrêt graisse) avant fait 72. L’arrière 62. Mais quand on lit le CPD il y a dû y avoir des évolution, car on retrouve du 62 sur les P60 et certaines A1300.

A ce moment-là, je me dis que de toute façon, je pourrais bricoler près de la donneuse de pièce en espérant que ce soit bien les mêmes pièces ...

Donc transport du train avant dans Bébert. Alors il est où ???


Quand on voit plus le haut du pneu c’est qu’il commence à en avoir ras la musette le pépère ! Le Bébert une bonne besogneuse

oh, le boxon!
Tu as l'art de ranger c'est bien.
Je plaisante bien sur.
A plus pour la suite.

c' est du bon boulot , c'est propre

Bravo beau tuto

Merci pour vos commentaire La suite bientôt

Allé, je vais voir ce qu’elle a sous sa jupe la donneuse …


Mais pour ça il faut bien caler surtout sur le sable !

Avec une poignée d’outils, cela devrait passer.


Première déception … Ce n’est pas des tambours alu ! Donc le rabe pour la 9 Alsacienne, c’est fichu …

Bon, en Beauce, il y avait de la terre … D’ailleurs, pourquoi au passé … !!!

Démontage de la tripaille.


Bon, là c’est les bonnes pièces !

Une chatte n’y retrouverai pas ses petits.


Les arrêtoires sont ouverts, cela devrait suffire.


Une fois tout démonter on fait en sorte qu’elle puisse toujours rouler.

Une fois toute les pièces récupérées, procédure habituelle, décapage, rustolage, poli … (ah non pas celui-là …), séchage. J’ai récupéré les arrêtoirs en bien meilleur état.

C’est marrant la marque TAT sur le graisseur.


Il n’y a plus qu’à attendre.